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Succession : jusqu’à 300 000 € de dons exonérés pour financer un projet immobilier

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Bonne nouvelle pour les familles souhaitant aider un proche à devenir propriétaire ou à rénover un logement ! Le projet de loi de finances 2025, adopté le 6 février 2025, instaure une exonération fiscale pour certains dons intrafamiliaux. Sous réserve de conditions précises, il est désormais possible de transmettre jusqu’à 300 000 € sans taxation, à condition que cette somme soit utilisée pour un projet immobilier.

Un dispositif temporaire et encadré

Cette mesure fiscale s’applique aux dons réalisés entre le 1er janvier 2025 et le 31 décembre 2026. Elle concerne les donations effectuées par des parents ou grands-parents au profit de leurs enfants ou petits-enfants. À défaut de descendance directe, l’exonération peut également bénéficier aux neveux et nièces, comme le stipule le texte de loi.

Toutefois, cette exonération est plafonnée à 100 000 € par donateur et 300 000 € par bénéficiaire. Les montants dépassant ce seuil seront soumis aux droits de mutation classiques.

Un soutien ciblé sur l’acquisition et la rénovation de logements

Pour profiter de cet avantage fiscal, la somme reçue devra être utilisée dans les six mois suivant la donation pour :

  • Acheter ou faire construire un bien immobilier qui deviendra la résidence principale du bénéficiaire,
  • Financer des travaux de rénovation énergétique éligibles au programme MaPrimeRénov’.

Toute autre utilisation des fonds, y compris l’investissement locatif ou l’achat d’une résidence secondaire, ne permettra pas de bénéficier de l’exonération.

Des obligations strictes pour sécuriser l’exonération

Pour éviter toute requalification fiscale, le bénéficiaire devra conserver l’ensemble des justificatifs attestant de l’utilisation des fonds conformément aux critères établis. De plus, le logement acquis devra être occupé en tant que résidence principale pendant au moins cinq ans. Un non-respect de cette obligation entraînerait l’annulation de l’exonération.

Un levier pour dynamiser l’accès à la propriété

Inspiré d’un dispositif fiscal préexistant permettant la transmission défiscalisée de 100 000 € par parent et par enfant, cet assouplissement vise à stimuler le marché immobilier et à encourager les investissements dans des logements plus performants sur le plan énergétique.

Si vous envisagez de bénéficier de cette opportunité, il est recommandé de consulter un notaire ou un conseiller en gestion de patrimoine afin de maximiser les avantages fiscaux et d’assurer le bon déroulement du processus.

Aides de la CAF : les nouveaux plafonds de ressources en vigueur dès le 5 février

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Depuis le 5 février 2025, les plafonds de ressources permettant de bénéficier des aides de la Caisse d’allocations familiales (CAF) ont été revalorisés. Cette mise à jour, qui tient compte de l’inflation de 2023 et des ressources des foyers à N-2 (2022), pourrait permettre à des milliers de familles de percevoir des aides supplémentaires. 

Une revalorisation des plafonds de 4,8 %

Chaque année, la CAF ajuste les plafonds de ressources de ses principales aides en fonction de l’inflation et des revenus des foyers. En 2024, cette revalorisation atteint +4,8 %, une augmentation significative qui pourrait profiter à de nombreux bénéficiaires.

Parmi les aides concernées :

  • Les allocations familiales : Réservées aux foyers ayant au moins deux enfants de moins de 20 ans à charge.
  • Le complément familial : Destiné aux familles avec au moins trois enfants de plus de 3 ans.

Les nouveaux plafonds en détail

Voici les principaux changements à retenir :

  1. Allocations familiales :
    • Pour deux enfants à charge, le plafond de ressources permettant de bénéficier de l’aide maximale passe de 74 966 € à 78 565 €.
    • Un couple avec deux enfants et un revenu annuel de 75 000 €, qui était auparavant dans la tranche 2 (74,26 € par mois), entre désormais dans la tranche 1 et perçoit 148,52 € mensuels.
  2. Complément familial :
    • Pour un ménage avec deux salaires et trois enfants à charge, le plafond de ressources est revalorisé de 51 296 € à 53 758 €.

Cette revalorisation des plafonds permet à de nombreux foyers de bénéficier d’aides qu’ils ne percevaient pas auparavant. Elle atténue également l’impact de l’inflation sur le pouvoir d’achat des familles, en tenant compte de l’évolution des prix et des revenus.

Immobilier : quel est le meilleur moment pour vendre ou acheter un logement ?

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Le marché immobilier évolue au fil des saisons, influençant directement le volume des transactions et les opportunités pour les acheteurs et vendeurs. Grâce aux données de PAP (Particulier à Particulier), analysées par MoneyVox, certaines périodes de l’année se révèlent plus propices que d’autres pour concrétiser un projet immobilier.

Printemps et début d’été : la période idéale pour vendre

Les statistiques montrent que le printemps et le début de l’été sont les saisons les plus dynamiques sur le marché immobilier. En juin, PAP a enregistré un pic de 1,8 million de recherches de biens à acheter, suivi de mars avec 1,6 million de requêtes. Cette tendance s’explique notamment par la volonté des acheteurs d’anticiper la rentrée scolaire et d’emménager avant septembre.

Comme l’explique Romain Rainfray, chargé d’étude chez PAP : « Le printemps est une saison forte pour les transactions, car les acheteurs préparent notamment la rentrée de septembre ». Une analyse confirmée par Delphine Herman, directrice chez Guy Hoquet : « L’activité immobilière atteint son pic au premier trimestre de l’année pour finaliser les acquisitions avant la rentrée ».

Une opportunité méconnue : acheter ou vendre en fin d’année

Contrairement aux idées reçues, la fin d’année peut aussi être une période stratégique pour réaliser une transaction. Si les recherches et visites ralentissent en décembre (seulement 1 million de requêtes), cette période offre des opportunités aux acheteurs, car la concurrence est moins forte.

Selon Delphine Herman : « Même en fin d’année, les visites, les offres et les signatures de compromis continuent. Les acheteurs actifs à cette période sont souvent très motivés ». Toutefois, les délais de traitement des dossiers bancaires peuvent être plus longs, ce qui demande une bonne anticipation pour l’obtention d’un prêt immobilier.

2024 : une année marquée par des ventes contraintes

Le marché immobilier en 2024 a connu une particularité notable : 80 à 90 % des transactions ont été motivées par des circonstances contraintes (divorce, mutation, succession…), contrairement aux années précédentes où l’amélioration du cadre de vie était le principal moteur des achats.

Cependant, la baisse progressive des taux d’intérêt en fin d’année 2024 a permis de relancer le marché, entraînant une hausse des transactions durant l’hiver. « La diminution des taux a favorisé une reprise des ventes et des achats, réduisant progressivement la part des ventes forcées », analyse Romain Rainfray.

Conclusion : adapter son projet à la saisonnalité du marché

Si le printemps et l’été restent les périodes les plus propices pour vendre rapidement un bien immobilier, l’automne et l’hiver peuvent offrir des opportunités intéressantes aux acheteurs motivés. Anticiper ces variations permet d’optimiser son projet immobilier, en fonction des conditions du marché et de son propre calendrier.

Inflation en France : légère augmentation des prix en janvier 2025

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L’Insee a publié ce vendredi 31 janvier ses premières estimations concernant l’inflation en France. Les prix à la consommation ont progressé de 1,4 % sur un an, contre 1,3 % en décembre 2024. Cette accélération s’explique principalement par la hausse des prix de l’énergie, tandis que d’autres secteurs connaissent des évolutions contrastées.

L’énergie, principal moteur de l’inflation

La hausse des prix observée en janvier est largement due à une nouvelle augmentation des tarifs de l’énergie, un facteur déjà responsable des précédentes flambées inflationnistes. À cela s’ajoute une accélération des prix des produits manufacturés, tandis que le secteur des services ralentit légèrement. De leur côté, les prix de l’alimentation restent quasi stables sur un an, offrant un certain répit aux consommateurs.

Une tendance à la hausse depuis septembre 2024

Si l’inflation avait ralenti ces derniers mois, passant de 6,3 % en février 2023 à seulement 1,1 % en septembre 2024, elle semble repartir légèrement à la hausse. Après avoir atteint 1,2 % en octobre, puis 1,3 % en novembre et décembre, la progression à 1,4 % en janvier 2025 confirme ce frémissement.

Quelles perspectives pour les mois à venir ?

Les experts surveillent de près l’évolution de l’inflation, notamment en raison des tensions sur les prix de l’énergie et des décisions monétaires à venir. Si la tendance se poursuit, cela pourrait influencer la politique économique et impacter le pouvoir d’achat des ménages français.

L’Insee publiera des analyses plus détaillées dans les prochaines semaines, permettant d’affiner les prévisions pour 2025.

Community manager (contrat alternance)

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Goldy est un média digital qui a pour mission de démocratiser l’éducation financière et professionnelle. On parle d’argent, de carrière, de business et on partage des success stories inspirantes !

Notre mission est de rendre ces sujets accessibles à tous grâce à des contenus pédagogiques et de qualité. Nous produisons des posts, vidéos, articles et autres ressources pour accompagner nos audiences dans la gestion de leur argent et de leur carrière et dans la compréhension de l’économie et du monde travail.

Dans le cadre de notre croissance, nous recrutons un.e community manager en alternance. Vous travaillerez en étroite collaboration avec la fondatrice du média et l’équipe, pour assurer la création de divers contenus et la gestion de notre communauté sur les réseaux sociaux.

MISSION

En tant qu’alternant(e) en community management, vous serez en charge de :

  • Veiller et suivre l’actualité / les dernières tendances sur les réseaux sociaux
  • Participer aux réunions pour élaborer le planning éditorial
  • Créer des contenus pour nos réseaux sociaux (Facebook, Tiktok, Instagram, Twitter, Pinterest, Linkedin)
  • Monter certains de nos contenus vidéos (montage simple)
  • Gérer nos différentes communautés sur les réseaux sociaux (réponses aux messages et commentaires)
  • Analyser les statistiques de nos réseaux sociaux

PROFIL RECHERCHÉ

  • Bac + 3 minimum en communication / journalisme web / métiers du multimédia et de l’Internet.
  • Fort intérêt pour les finances personnelles, les thématiques en lien avec le monde du travail et les sujets business / entrepreneuriat.
  • Maîtrise de Canva obligatoire et d’au moins un logiciel de montage.
  • Excellent relationnel et aisance avec les interactions humaines.
  • Créativité, curiosité et esprit d’initiative.
  • Connaissance des réseaux sociaux et de leurs codes (YouTube, Instagram, TikTok).
  • Capacité à travailler de façon indépendante, au sein d’une petite équipe.

Serait un plus :

  • Créateur/trice de contenus sur les réseaux sociaux (même dans un cadre personnel).
  • Aisance face caméra.
  • Précédentes expériences au sein de médias en ligne ou autres organes de presse.

MODALITÉS

📍 Localisation : Paris 10 (télétravail possible)
⏳ Type de contrat : Alternance 1 an
📅 Date de début : Mi-février
💰 Rémunération : Selon le cadre légal de l’alternance et les qualifications + remboursement transport 100%

POUR POSTULER

  • CV + les raisons pour lesquelles vous souhaitez travailler avec nous
  • Un portfolio avec des exemples de contenus créés (même pour des projets personnels)
  • À envoyer à l’adresse suivante : contact@goldy.fr

Candidater

Shein détrône Vinted et devient l’enseigne préférée des Français en 2024

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En 2024, le paysage de la mode en France a connu un bouleversement majeur. Selon une étude réalisée par l’application de shopping Joko et révélée ce lundi 27 janvier 2025, Shein, le géant chinois de la fast fashion, est devenu l’enseigne où les Français ont dépensé le plus d’argent. Une première qui marque la fin du règne de Vinted, leader depuis 2020 !

Selon une étude de Joko, Shein est devenu l’enseigne de mode où les Français ont le plus dépensé en 2024, devant Vinted et Kiabi. Découvrez les chiffres clés et l’impact sur le marché.

Shein, nouveau roi de la mode en France

Avec une progression de 58 % de ses ventes en valeur entre 2023 et 2024, Shein a su s’imposer comme la référence incontournable du shopping mode en France. Plusieurs facteurs expliquent ce succès. Shein propose des vêtements et accessoires à des tarifs défiant toute concurrence, attirant une clientèle soucieuse de son budget. La marque mise sur des milliers de nouveautés chaque semaine, répondant à la demande de tendances éphémères. Grâce à une application intuitive et des campagnes marketing ciblées sur les réseaux sociaux, Shein a su séduire les jeunes consommateurs.

Cette performance permet à l’entreprise asiatique de détrôner Vinted, la plateforme lituanienne de seconde main qui dominait le marché depuis 2020.

Le classement des enseignes préférées des Français en 2024

Selon l’étude de Joko, voici le top 5 des enseignes de mode où les Français ont le plus dépensé en 2024 :

  1. Shein
  2. Vinted
  3. Kiabi
  4. Intersport
  5. Zara

Les places suivantes sont occupées par VeepeeZalandoPrimarkH&M et Gémo. Ce classement reflète une diversification des habitudes d’achat, entre fast fashion, seconde main et sportswear.

Aides sociales : la France reste championne d’Europe des dépenses en 2025

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La France reste en tête du classement européen en matière de dépenses sociales. Selon les dernières données publiées, l’Hexagone a consacré en 2025 une part significative de son PIB aux aides sociales, confirmant ainsi sa position de championne d’Europe dans ce domaine. 

Des dépenses sociales record

Avec près de 34 % de son PIB alloué aux aides sociales, la France devance largement ses voisins européens. Ce chiffre, en légère augmentation par rapport à 2024, confirme une tendance de fond : l’Hexagone reste un État-providence très généreux.

Les principaux postes de dépenses incluent :

  • Les retraites : Premier poste budgétaire, elles représentent une part importante des dépenses sociales.
  • La santé : Les remboursements de soins et les prestations maladie pèsent également lourd dans le budget.
  • Les allocations familiales et les aides au logement : Ces dispositifs visent à soutenir les familles et les ménages modestes.
  • Les minima sociaux : Le RSA, l’AAH et autres aides sociales complètent ce tableau.

Comparaison européenne : la France en tête, mais pas seule

La France n’est pas le seul pays européen à consacrer une part importante de son PIB aux dépenses sociales. D’autres nations, comme le Danemark ou la Suède, affichent également des niveaux élevés. Cependant, ces pays se distinguent par une meilleure efficacité dans la redistribution des aides et une fiscalité plus lourde pour les financer.

À l’inverse, des pays comme l’Allemagne ou les Pays-Bas dépensent moins en proportion de leur PIB, mais parviennent à maintenir un niveau de protection sociale élevé grâce à des systèmes plus ciblés et une gestion rigoureuse.

Péages autoroutiers : une hausse modérée de 0,92 % attendue dès le 1er février 2025

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Les automobilistes français devront une nouvelle fois mettre la main à la poche pour emprunter les autoroutes. À partir du 1er février 2024, les sociétés concessionnaires augmenteront les tarifs des péages, avec une hausse moyenne de 0,92 %. Si cette augmentation reste inférieure à l’inflation et bien en deçà des hausses des années précédentes, elle n’en reste pas moins une nouvelle charge pour les usagers. 

Une hausse modérée, mais inévitable

Chaque année, au mois de février, les tarifs des péages autoroutiers sont révisés. Pour 2024, la hausse moyenne s’élève à 0,92 %, un chiffre nettement inférieur à celui de 2023 (+4,75 %) et à celui de 2022 (+3 %). Cette augmentation modérée s’explique en partie par le contexte économique actuel, marqué par une inflation en baisse et des efforts des concessionnaires pour limiter l’impact sur les automobilistes.

Cependant, cette hausse n’est pas uniforme sur l’ensemble du réseau. Selon les sociétés concessionnaires, les tarifs varient :

  • +1,08 % sur le réseau APRR.
  • +1,1 % sur le réseau Area.
  • +0,85 % sur le réseau Sanef.
  • +0,77 % sur le réseau Vinci Autoroutes.

Ces différences s’expliquent par les spécificités de chaque réseau et les investissements réalisés par les concessionnaires.

Les hausses annuelles des péages sont souvent mal perçues par les automobilistes, mais elles répondent à plusieurs besoins :

  1. L’entretien des infrastructures : Les autoroutes nécessitent des travaux réguliers pour garantir la sécurité et le confort des usagers.
  2. Les investissements futurs : Les concessionnaires financent des projets d’extension ou de modernisation du réseau.
  3. L’inflation : Bien que la hausse de 2024 soit inférieure à l’inflation, celle-ci reste un facteur pris en compte dans la révision des tarifs.

Malgré ces justifications, les automobilistes dénoncent régulièrement des tarifs trop élevés, surtout pour ceux qui empruntent quotidiennement les autoroutes pour se rendre au travail.

Arnaques en ligne : plus de 1 200 sites frauduleux inscrits sur la liste noire de l’ACPR

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Les arnaques en ligne ne cessent de se multiplier, et les Français sont de plus en plus ciblés. Récemment, plus de 1 000 sites frauduleux ont été identifiés par les autorités, proposant de faux services financiers tels que des crédits, des livrets d’épargne ou des assurances. Ces escroqueries, souvent très bien ficelées, exploitent la méconnaissance ou la vulnérabilité des internautes. Comment repérer ces pièges et protéger ses finances ? Voici ce qu’il faut savoir.

Une liste noire qui s’allonge

Les autorités financières et les organismes de régulation, comme l’Autorité des marchés financiers (AMF) et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), ont publié une liste noire recensant plus de 1 000 sites suspects. Ces plateformes, souvent hébergées à l’étranger, proposent des offres alléchantes mais frauduleuses.

Parmi les arnaques les plus répandues :

  • Des prêts à taux zéro ou des crédits sans justificatif, qui exigent des frais d’avance avant de disparaître.
  • Des livrets d’épargne offrant des rendements mirobolants, mais qui ne versent jamais les intérêts promis.
  • Des contrats d’assurance factices, qui ne couvrent aucun risque réel.

Ces sites utilisent des techniques de phishing (hameçonnage) pour récupérer les données personnelles et bancaires de leurs victimes.

Comment fonctionnent ces arnaques ?

Les escrocs misent sur plusieurs leviers pour piéger les internautes :

  1. Des offres trop belles pour être vraies : Des taux d’intérêt exceptionnels, des crédits sans conditions ou des assurances à prix cassés.
  2. Un sentiment d’urgence : Les victimes sont incitées à agir rapidement, sous prétexte que l’offre est limitée dans le temps.
  3. Des sites professionnels : Les plateformes frauduleuses sont souvent bien conçues, avec des logos officiels et des mentions légales falsifiées.

Ces techniques rendent les arnaques difficiles à détecter, surtout pour les personnes peu familiarisées avec les services financiers en ligne.

Les conseils pour se protéger

Face à ces menaces, la vigilance est de mise. Voici quelques conseils pour éviter de tomber dans le piège :

  1. Vérifiez la légitimité du site : Avant de souscrire à une offre, assurez-vous que le site est bien référencé par les autorités financières françaises (AMF, ACPR).
  2. Méfiez-vous des offres miraculeuses : Si une proposition semble trop avantageuse, il y a de fortes chances qu’il s’agisse d’une arnaque.
  3. Ne communiquez jamais vos données sensibles : Un organisme sérieux ne vous demandera jamais vos identifiants bancaires ou votre numéro de carte par e-mail ou téléphone.
  4. Consultez la liste noire : Les listes publiées par l’AMF et l’ACPR sont régulièrement mises à jour. Prenez le temps de les consulter avant de souscrire à une offre.

Que faire si vous êtes victime d’une arnaque ?

Si vous pensez avoir été victime d’une escroquerie en ligne, agissez rapidement :

  1. Signalez le site frauduleux : Utilisez la plateforme Pharos pour signaler les arnaques aux autorités compétentes.
  2. Contactez votre banque : Bloquez vos cartes bancaires et vos comptes si nécessaire.
  3. Portez plainte : Déposez une plainte auprès de la gendarmerie ou de la police pour tenter de récupérer vos fonds.

Les arnaques en ligne ciblant les finances des Français sont de plus en plus sophistiquées. Face à ces menaces, la prudence et l’information sont vos meilleures armes. En restant vigilant et en suivant les conseils des autorités, vous pouvez éviter de tomber dans le piège des escrocs et protéger votre épargne.

Comment clôturer son compte bancaire : le guide étape par étape !

Clôturer un compte bancaire peut sembler une démarche complexe, mais elle est souvent plus simple qu’on ne le pense. Que ce soit pour changer de banque, regrouper vos comptes ou simplement mettre fin à une relation client, il est essentiel de connaître les étapes à suivre pour éviter les mauvaises surprises. Voici comment clôturer votre compte bancaire en toute sérénité, en respectant les règles et en anticipant les éventuels frais.

Pourquoi clôturer son compte bancaire ?

Avant de se lancer dans les démarches, il est important de comprendre les raisons qui poussent à clôturer un compte bancaire. Parmi les motifs les plus fréquents :

  • Changer de banque pour bénéficier de meilleures offres ou services.
  • Regrouper ses comptes pour simplifier la gestion de ses finances.
  • Fermer un compte inutilisé pour éviter des frais inutiles.
  • Rompre une relation client en cas de désaccord avec votre banque.

Quelle que soit votre raison, la clôture d’un compte doit être bien préparée pour éviter les erreurs coûteuses.

Les étapes pour clôturer son compte bancaire

1. Choisir le bon moment

Avant de fermer votre compte, assurez-vous que toutes les opérations en cours sont terminées. Vérifiez notamment :

  • Les prélèvements automatiques (abonnements, factures, etc.).
  • Les virements récurrents (salaire, pensions, etc.).
  • Les chèques émis et non encore encaissés.

Un compte ne peut être clôturé que s’il est à zéro et qu’aucune opération n’est en attente.

2. Ouvrir un nouveau compte (si nécessaire)

Si vous fermez votre compte pour en ouvrir un autre, assurez-vous que le nouveau compte est opérationnel avant de procéder à la clôture. Cela vous permettra de transférer vos fonds et de rediriger vos opérations sans interruption.

3. Contacter votre banque

La clôture d’un compte bancaire se fait généralement par écrit. Vous pouvez :

  • Envoyer une lettre recommandée avec accusé de réception à votre agence.
  • Utiliser un formulaire de clôture si votre banque en propose un.
  • Effectuer la demande en agence, mais toujours avec une confirmation écrite.

Dans votre courrier, précisez :

  • Vos coordonnées complètes (nom, prénom, adresse).
  • Le numéro du compte à clôturer.
  • La date souhaitée de clôture.
  • Les coordonnées de votre nouveau compte (si applicable) pour le transfert des fonds.

4. Transférer vos fonds

Une fois la demande de clôture envoyée, votre banque vous indiquera la marche à suivre pour récupérer les fonds restants. Ceux-ci peuvent être transférés sur un autre compte ou remis sous forme de chèque.

5. Obtenir un accusé de clôture

Après la clôture, demandez un accusé de clôture à votre banque. Ce document prouve que le compte a bien été fermé et vous protège en cas de réclamation ultérieure.

Les pièges à éviter

  • Oublier les opérations en cours : Un prélèvement ou un chèque impayé peut entraîner des frais et retarder la clôture.
  • Ne pas vérifier les frais de clôture : Certaines banques facturent des frais pour fermer un compte. Renseignez-vous à l’avance.
  • Perdre les relevés bancaires : Conservez vos relevés pendant au moins 5 ans pour des raisons fiscales et légales.

FAQ : Questions fréquentes sur la clôture d’un compte bancaire

1. Combien de temps prend la clôture d’un compte bancaire ?
La clôture prend généralement entre 1 et 3 semaines, selon la banque et la complexité des opérations en cours.

2. Peut-on clôturer un compte à distance ?
Oui, la plupart des banques acceptent les demandes de clôture par courrier ou en ligne.

3. Que faire en cas de refus de la banque ?
Une banque ne peut pas refuser une clôture de compte sans motif valable. Si c’est le cas, vous pouvez saisir le médiateur de la banque ou l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR).

Clôturer un compte bancaire est une démarche accessible à tous, à condition de bien s’organiser. En suivant les étapes décrites dans ce guide, vous éviterez les erreurs courantes et réaliserez cette opération en toute tranquillité. N’oubliez pas de bien anticiper les transferts de fonds et de conserver tous les documents justificatifs pour protéger vos intérêts.