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Immobilier : qu’est-ce que le taux d’usure ?

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Le taux d’usure est un concept financier souvent méconnu, mais qui joue un rôle crucial dans le domaine de l’immobilier. Il constitue une protection pour les emprunteurs, limitant les taux d’intérêt que les banques peuvent leur proposer. Mais comment fonctionne exactement le taux d’usure, et en quoi influence-t-il votre prêt immobilier ? Cet article va vous éclairer sur ce mécanisme essentiel.

Définition du taux d’usure

Le taux d’usure est le taux maximal auquel une banque ou un établissement de crédit peut prêter de l’argent. Il est fixé chaque trimestre par la Banque de France pour garantir que les taux d’intérêt proposés aux emprunteurs ne soient pas excessifs. Ce taux plafond varie en fonction de la durée du prêt et du type de crédit (immobilier, à la consommation, etc.).

Le taux d’usure inclut non seulement le taux nominal du prêt, mais également tous les frais annexes tels que les frais de dossier, les assurances obligatoires, et les garanties.

Comment est calculé le taux d’usure ?

Le taux d’usure est calculé à partir des taux effectifs moyens pratiqués par les banques durant le trimestre précédent. La Banque de France observe les conditions de crédit sur le marché et détermine un seuil au-delà duquel les taux proposés sont jugés abusifs. Concrètement, elle ajoute un tiers à la moyenne des taux d’intérêts pratiqués, ce qui fixe la limite à ne pas dépasser.

Par exemple, si le taux moyen pratiqué sur le marché pour les prêts immobiliers est de 2 %, le taux d’usure sera de 2,67 %. Cela signifie que les banques ne pourront pas proposer de crédit avec un taux global supérieur à ce plafond.

L’impact du taux d’usure sur les emprunteurs immobiliers

Le taux d’usure a un impact direct sur les candidats à l’emprunt immobilier. Il a été conçu pour protéger les emprunteurs contre des taux trop élevés et leur éviter de se retrouver dans des situations de surendettement. Cependant, dans certains cas, il peut aussi devenir un frein pour accéder au crédit.

En effet, si le taux d’usure est trop bas par rapport aux conditions de marché, certaines personnes pourraient se voir refuser un prêt. Cela concerne notamment les emprunteurs considérés comme plus « risqués » (âge, état de santé, etc.), dont les assurances emprunteur, souvent élevées, viennent gonfler le taux effectif global au-delà du seuil d’usure.

Taux d’usure et assurance emprunteur

Un élément souvent négligé dans le calcul du taux d’usure est l’assurance emprunteur, qui peut fortement influencer le taux effectif global (TEG). Plus l’assurance est élevée, plus le taux final augmente, ce qui peut rapidement faire franchir le seuil du taux d’usure. C’est pourquoi il est essentiel de bien comparer les offres d’assurance pour éviter de voir son dossier refusé pour dépassement du taux d’usure.

Il est aussi possible de négocier une assurance auprès d’un autre organisme que celui proposé par la banque, pour bénéficier d’un meilleur taux.

Comment contourner un refus lié au taux d’usure ?

Si votre demande de prêt est refusée à cause du dépassement du taux d’usure, il existe quelques solutions. Tout d’abord, vous pouvez négocier certains aspects du prêt avec la banque, comme réduire les frais de dossier ou changer de formule d’assurance pour baisser le TEG.

Une autre option consiste à allonger la durée de votre prêt. En effet, plus la durée du prêt est longue, plus les mensualités sont réduites, ce qui permet parfois de faire passer le taux effectif sous le seuil d’usure. Toutefois, cette solution entraîne également une augmentation du coût total du crédit.

Le taux d’usure est un mécanisme essentiel pour protéger les emprunteurs contre les taux d’intérêt abusifs. En immobilier, il permet de limiter les excès, mais peut aussi représenter un obstacle pour certains profils d’emprunteurs, notamment en raison des assurances. Il est donc primordial de bien comprendre comment il fonctionne, de négocier chaque élément de son crédit, et de comparer les offres pour éviter de franchir ce plafond. En restant vigilant, vous pouvez ainsi optimiser votre projet immobilier tout en respectant les règles en vigueur.

Les séries Netflix à suivre pour s’éduquer financièrement

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Netflix ne se limite pas qu’au divertissement, la plateforme regorge également de séries qui, en plus de captiver, peuvent vous apprendre de précieuses leçons sur l’argent, l’économie et la gestion financière. Que vous soyez un novice en finance ou que vous cherchiez à approfondir vos connaissances, certaines séries Netflix proposent une approche ludique et accessible des sujets complexes. Voici une sélection des meilleures séries Netflix à suivre pour s’éduquer financièrement.

« Dirty Money » : comprendre les scandales financiers

« Dirty Money » est une série documentaire qui plonge dans les dessous du monde des affaires et dévoile des scandales financiers retentissants. Chaque épisode explore une affaire spécifique, qu’il s’agisse de fraude, d’escroquerie ou de corruption. Ce programme met en lumière comment des entreprises ou des individus ont abusé du système pour s’enrichir de manière illégale.

Pour ceux qui souhaitent comprendre les rouages de certains abus économiques et les conséquences pour les consommateurs, « Dirty Money » est une excellente ressource. En visionnant cette série, vous découvrirez les pièges de la finance moderne et développerez une meilleure vigilance dans la gestion de vos finances personnelles.

« Explained: Money » : une introduction aux concepts financiers

La série documentaire « Explained » propose une saison entièrement dédiée à l’argent intitulée « Explained: Money ». Chaque épisode couvre un sujet précis, allant de la cryptomonnaie aux cartes de crédit, en passant par le marché de l’immobilier. Cette série aborde des concepts financiers parfois complexes, mais avec une approche claire et accessible pour le grand public.

Grâce à « Explained: Money », vous pourrez améliorer votre compréhension des bases de l’économie et des finances personnelles. C’est un excellent point de départ pour ceux qui souhaitent s’initier à ces sujets sans se sentir submergés par la complexité des termes financiers.

« The Minimalists: Less Is Now » : la gestion financière par le minimalisme

Si vous êtes à la recherche de moyens de mieux gérer votre argent en réduisant vos dépenses superflues, « The Minimalists: Less Is Now » est une série à ne pas manquer. Ce documentaire suit Joshua Fields Millburn et Ryan Nicodemus, deux minimalistes convaincus qui prônent une vie plus simple, avec moins d’objets matériels, pour un plus grand bien-être et une meilleure gestion financière.

Ce programme vous encourage à repenser votre relation à la consommation. Adopter un mode de vie minimaliste, c’est non seulement réduire les dépenses inutiles, mais aussi économiser pour des investissements plus judicieux et des projets à long terme. Il s’agit d’une leçon indirecte mais précieuse pour ceux qui souhaitent améliorer leurs finances personnelles.

« L’Art d’être riche » : développer une mentalité financière positive

« L’Art d’être riche » est une série documentaire qui se penche sur les stratégies et les mentalités adoptées par ceux qui ont réussi financièrement. Elle aborde les différentes étapes pour construire et préserver une fortune, tout en mettant l’accent sur l’importance d’une approche proactive et réfléchie de l’argent.

Cette série vous aide à comprendre qu’être riche ne se résume pas uniquement à gagner beaucoup d’argent, mais aussi à savoir comment le gérer intelligemment. Grâce à des témoignages d’experts en finances et de personnes qui ont su construire leur richesse, vous apprendrez comment adopter une mentalité financière positive, économiser efficacement, et investir dans des projets qui vous tiennent à cœur.

« The Big Short » : comprendre la crise financière de 2008

Bien que ce soit un film plutôt qu’une série, « The Big Short » mérite une place dans cette liste pour sa capacité à expliquer la crise financière de 2008 d’une manière divertissante et accessible. Ce drame financier, basé sur des faits réels, raconte comment un groupe d’investisseurs a prédit l’effondrement du marché immobilier américain et a profité de cette crise.

Le film décortique des concepts financiers complexes, tels que les subprimes et les produits dérivés, tout en gardant un rythme captivant. En regardant « The Big Short », vous comprendrez mieux comment fonctionne le système financier global, et pourquoi il est essentiel de bien gérer son argent pour éviter les pièges des crises économiques.

S’éduquer financièrement ne doit pas être une tâche rébarbative, et Netflix prouve que c’est possible d’apprendre en s’amusant. Alors, pourquoi ne pas profiter de votre prochaine session de binge-watching pour enrichir vos connaissances sur la finance et ainsi mieux gérer vos finances personnelles ?

Financièrement, est-il intéressant de prendre une mutuelle santé ?

Se poser la question de l’utilité d’une mutuelle santé, c’est réfléchir à une dépense qui peut sembler superflue pour certains, mais essentielle pour d’autres. Que vous soyez jeune, salarié, indépendant ou retraité, la mutuelle santé représente un coût mensuel, mais aussi une sécurité pour couvrir les frais médicaux qui ne sont pas pris en charge par la Sécurité sociale. Alors, est-il pertinent ou non de souscrire à une mutuelle santé ?

Qu’est-ce qu’une mutuelle santé ?

Une mutuelle santé, également appelée complémentaire santé, est un contrat d’assurance qui permet de couvrir tout ou partie des dépenses de santé non remboursées par la Sécurité sociale. Elle intervient notamment pour des frais comme les consultations médicales, les soins dentaires, les hospitalisations, les lunettes ou encore les médicaments. Chaque mutuelle propose des niveaux de couverture différents, en fonction des besoins de chacun. La question à se poser est donc : faut-il souscrire une mutuelle, et cela vaut-il le coût pour vous, financièrement ?

Les avantages financiers d’une mutuelle santé

Une couverture complémentaire indispensable

La Sécurité sociale en France rembourse généralement une partie des frais de santé, mais il reste souvent un « reste à charge » pour le patient. Par exemple, une consultation chez un spécialiste peut ne pas être remboursée à 100 %, et certaines interventions médicales, comme l’optique ou le dentaire, sont notoirement mal remboursées.

Une bonne mutuelle vous permet de couvrir ces frais supplémentaires. D’un point de vue financier, elle représente donc une économie potentielle sur le long terme, surtout en cas de problème de santé imprévu. Plutôt que de devoir sortir de grosses sommes pour une hospitalisation ou une intervention chirurgicale, une mutuelle vous permet d’étaler ce coût sous forme de mensualités plus abordables.

Des remboursements sur les frais du quotidien

Une mutuelle peut être utile même pour les petites dépenses du quotidien. Si vous portez des lunettes, avez des soins dentaires réguliers ou suivez un traitement médical, les remboursements proposés par une mutuelle peuvent rapidement faire une différence. Certains frais comme l’orthodontie pour les enfants ou l’achat de prothèses auditives sont mal pris en charge par la Sécurité sociale et peuvent représenter des montants conséquents.

Avec une mutuelle, ces dépenses sont en grande partie couvertes, réduisant significativement l’impact sur votre budget. Il est donc important d’évaluer vos besoins en matière de santé pour comprendre si souscrire à une mutuelle vous permet de réaliser des économies.

Les inconvénients financiers d’une mutuelle

Un coût régulier à ne pas négliger

Le principal frein à la souscription d’une mutuelle est son coût. En fonction de votre âge, de votre situation professionnelle et du niveau de garanties choisi, une mutuelle peut représenter un budget conséquent. Les cotisations varient largement, mais elles peuvent aller de 20 à plus de 100 euros par mois. Sur une année, cela peut peser lourd sur vos finances, surtout si vous n’avez que peu de dépenses de santé.

Si vous êtes jeune et en bonne santé, vous pourriez envisager de ne pas souscrire à une mutuelle pour économiser ce montant mensuel. Cependant, il est essentiel de garder à l’esprit que la santé peut changer à tout moment, et une dépense imprévue, comme une hospitalisation, peut coûter bien plus que plusieurs années de cotisations.

Une couverture parfois mal adaptée

Certaines mutuelles peuvent proposer des garanties qui ne sont pas toujours adaptées à vos besoins. Il est alors possible de payer pour des services dont vous n’avez pas réellement besoin, comme une couverture élevée pour les prothèses dentaires alors que vous n’avez jamais de problèmes à ce niveau. Il est important de bien choisir sa mutuelle en fonction de sa situation pour éviter de dépenser inutilement.

Comment bien choisir sa mutuelle pour optimiser ses finances ?

Évaluez vos besoins de santé

Avant de souscrire une mutuelle, il est essentiel de faire le point sur vos besoins de santé. Êtes-vous suivi régulièrement par un spécialiste ? Avez-vous des enfants qui nécessitent des soins orthodontiques ? Portez-vous des lunettes ? Ces questions doivent vous aider à déterminer le niveau de couverture dont vous avez besoin. Par exemple, si vous n’avez pas de problèmes dentaires, inutile de choisir une mutuelle qui couvre très bien ce secteur, mais vous pouvez vous concentrer sur l’optique ou les consultations médicales.

Comparez les offres

Il existe une multitude d’offres sur le marché, et toutes ne se valent pas. Prendre le temps de comparer les différentes mutuelles est essentiel pour trouver la meilleure offre, tant en termes de prix que de couverture. Il est aussi conseillé de consulter les avis des utilisateurs et de vérifier les délais de remboursement, qui peuvent varier d’une mutuelle à l’autre.

Profitez des avantages fiscaux

Sachez que certaines mutuelles peuvent vous faire bénéficier d’avantages fiscaux, notamment si vous êtes indépendant ou travailleur non salarié (TNS). Les cotisations versées pour votre mutuelle santé peuvent être déduites de vos revenus imposables dans certaines conditions. Cela peut alléger votre charge financière tout en vous offrant une couverture de qualité.

Conclusion : faut-il prendre une mutuelle ?

D’un point de vue financier, souscrire à une mutuelle présente de nombreux avantages si vos dépenses de santé sont régulières ou si vous souhaitez vous protéger contre les imprévus. Même si le coût peut représenter un frein, les économies réalisées sur les soins non couverts par la Sécurité sociale peuvent justifier cette dépense. Il est donc essentiel d’évaluer vos besoins réels en matière de santé et de comparer les offres pour choisir la mutuelle la plus adaptée à votre situation. Dans de nombreux cas, une mutuelle bien choisie est un investissement qui protège vos finances sur le long terme.

Qu’est-ce que l’intérim (contrat, avantages et inconvénients) ?

L’intérim, ou travail temporaire, est une solution flexible qui permet à une entreprise de combler rapidement des besoins en personnel pour une période définie. Pour les travailleurs, c’est une opportunité d’accéder à de nombreuses expériences professionnelles variées. Mais comme toute forme d’emploi, l’intérim comporte des avantages et des inconvénients. Voici tout ce que vous devez savoir sur l’intérim, ainsi que les points positifs et négatifs qui y sont associés.

Qu’est-ce que l’intérim ?

L’intérim est un contrat tripartite entre trois acteurs principaux : l’agence d’intérim, le salarié intérimaire et l’entreprise utilisatrice. Le salarié est embauché par l’agence d’intérim, qui le met à disposition d’une entreprise pour une durée déterminée, en général pour pallier un surcroît temporaire d’activité ou remplacer un salarié absent.

Le contrat d’intérim, appelé « contrat de mission », peut durer de quelques jours à plusieurs mois, selon les besoins de l’entreprise. Le salarié est rémunéré par l’agence d’intérim et bénéficie des mêmes droits que les employés permanents, notamment en matière de sécurité et de conditions de travail.

Les avantages de l’intérim

Flexibilité

L’un des principaux avantages de l’intérim est la flexibilité qu’il offre aux travailleurs. Il permet de choisir des missions en fonction de ses disponibilités et de ses préférences. C’est une solution idéale pour ceux qui recherchent une activité professionnelle temporaire ou pour concilier travail et études. Les intérimaires peuvent aussi décider de prendre des pauses entre deux missions pour mieux gérer leur temps personnel.

Diversité des expériences

Travailler en intérim donne accès à des expériences variées, dans différents secteurs d’activité. Cela permet aux travailleurs d’acquérir de nouvelles compétences, d’élargir leur réseau professionnel et de découvrir de nouvelles entreprises. C’est également une excellente manière de se former sur le terrain et de renforcer son CV avec des expériences diversifiées, ce qui peut constituer un tremplin pour accéder à un emploi stable.

Opportunité de CDI

L’intérim peut parfois déboucher sur un emploi permanent. De nombreuses entreprises utilisent l’intérim comme un moyen de tester les compétences des travailleurs avant de les embaucher en CDI. Si la mission est réussie et que l’entreprise est satisfaite, cela peut se transformer en une belle opportunité d’embauche à long terme.

Protection sociale

Même si l’intérim est temporaire, le salarié intérimaire bénéficie des mêmes droits que les autres employés en matière de sécurité au travail, d’assurance maladie et de cotisations pour la retraite. En fin de mission, il reçoit également une indemnité de fin de contrat, appelée « prime de précarité », qui représente 10 % de son salaire brut.

Les inconvénients de l’intérim

Instabilité professionnelle

Le principal inconvénient de l’intérim est l’incertitude. Contrairement à un emploi permanent, un contrat intérimaire est par définition temporaire. Les missions peuvent être courtes et il n’est pas garanti d’enchaîner directement sur une autre mission. Cette instabilité peut être difficile à gérer, notamment pour ceux qui recherchent une stabilité financière ou un emploi à long terme.

Absence de certains avantages

Même si l’intérimaire a accès à certains droits, il ne bénéficie pas toujours des mêmes avantages que les employés permanents, tels que les congés payés dans certaines entreprises, les primes ou encore l’accès aux plans de retraite complémentaire proposés par l’employeur. De plus, il peut y avoir moins de possibilités de progression de carrière ou de formation au sein de l’entreprise, puisque l’intérimaire n’est pas intégré à long terme dans l’équipe.

Intégration difficile

L’intégration dans une nouvelle entreprise peut être un défi pour les intérimaires. En raison de la nature temporaire de leur mission, ils ne sont pas toujours pleinement intégrés dans l’équipe, ce qui peut rendre l’expérience de travail plus isolée. Les intérimaires sont souvent perçus comme des « travailleurs de passage », ce qui peut parfois limiter leurs interactions avec les autres employés ou leur participation aux projets à long terme.

Gestion administrative

L’intérim peut impliquer une gestion administrative plus complexe que dans un emploi classique. Les intérimaires doivent gérer plusieurs contrats, traiter avec l’agence d’intérim pour leur paie, leurs indemnités et leurs congés. Cela peut engendrer des démarches supplémentaires et une certaine lourdeur administrative.

L’intérim est une solution professionnelle intéressante pour ceux qui recherchent de la flexibilité et une diversité d’expériences. Il peut être un tremplin pour trouver un emploi permanent ou enrichir son parcours professionnel. Toutefois, il ne convient pas à tout le monde en raison de son instabilité et des défis qu’il présente en termes d’intégration et de gestion administrative. Avant de se lancer dans l’intérim, il est important de bien peser les avantages et les inconvénients afin de déterminer si ce type de travail correspond à ses objectifs professionnels et personnels.

Les 5 meilleurs jobs étudiants pour arrondir vos fins de mois

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Quand on est étudiant, trouver un emploi à temps partiel est souvent indispensable pour subvenir à ses besoins. Entre les cours, les révisions et la vie sociale, il n’est pas toujours simple de dénicher un job adapté à son emploi du temps. Pour vous aider, voici une sélection des 5 meilleurs jobs étudiants qui vous permettront de gagner un peu d’argent tout en conservant du temps pour vos études.

1. Serveur(se) ou barman

Travailler dans un café, un restaurant ou un bar est l’un des jobs étudiants les plus courants. Ce type de poste offre une grande flexibilité, avec des horaires souvent en soirée ou le week-end. En plus du salaire, vous pouvez bénéficier de pourboires qui viennent arrondir vos fins de mois. Ce job vous permet aussi de développer des compétences relationnelles précieuses, notamment dans la gestion du stress et le service à la clientèle. Il est aussi facile de trouver des postes dans des lieux variés, que ce soit en ville ou dans des zones touristiques.

2. Babysitter

Le babysitting est un autre job très apprécié des étudiants. Les horaires sont souvent en soirée ou en week-end, ce qui vous permet de concilier travail et études. C’est un job plutôt bien rémunéré, surtout si vous avez de l’expérience ou des recommandations. De plus, selon les attentes des parents, vous pourrez parfois étudier pendant que les enfants dorment. Ce travail demande cependant de la patience, un sens des responsabilités et une bonne capacité à gérer des enfants de différents âges.

3. Soutien scolaire ou cours particuliers

Si vous excellez dans une matière, donner des cours particuliers peut être une excellente façon de gagner de l’argent tout en partageant vos connaissances. Le soutien scolaire est très recherché, que ce soit pour des élèves du primaire, du secondaire ou même des étudiants en première année d’université. Ce job présente l’avantage de vous permettre de choisir vos horaires et d’adapter vos cours en fonction de vos disponibilités. De plus, il est souvent bien payé et vous permet de développer des compétences pédagogiques.

4. Hôte(sse) d’accueil ou vendeur(se)

De nombreux événements, salons et magasins recherchent des étudiants pour des missions d’accueil ou de vente. Ces jobs sont idéaux si vous avez un bon sens du relationnel et aimez le contact avec le public. Les horaires peuvent être assez flexibles, notamment pour les événements ponctuels. En travaillant en tant qu’hôte(sse) d’accueil ou vendeur(se), vous gagnez en assurance et en compétences commerciales, ce qui peut être un atout dans votre futur parcours professionnel.

5. Livreur(euse)

Avec l’essor des plateformes de livraison comme Uber Eats, Deliveroo ou Stuart, de nombreux étudiants optent pour le job de livreur. Ce travail offre une grande flexibilité puisque vous choisissez vos créneaux horaires en fonction de vos disponibilités. En plus d’un revenu de base, vous pouvez toucher des pourboires. Ce type de job est idéal si vous aimez bouger, avez un vélo ou un scooter, et que vous recherchez une activité qui vous permet de faire du sport tout en travaillant. Attention toutefois aux conditions météorologiques, parfois peu clémentes.

Trouver un job étudiant n’est pas toujours facile, mais il existe de nombreuses opportunités qui s’adaptent à vos contraintes. Que vous aimiez le contact avec les clients, préfériez travailler en soirée ou aimiez transmettre vos connaissances, vous trouverez un poste qui correspond à vos attentes. En choisissant un de ces jobs, vous pourrez non seulement arrondir vos fins de mois, mais aussi acquérir des compétences précieuses pour votre avenir professionnel.

Comment commencer à économiser en Octobre ? Le plan d’épargne à suivre !

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L’arrivée du mois d’octobre offre une nouvelle opportunité pour mettre en place un plan d’épargne efficace. Que ce soit pour préparer les fêtes de fin d’année, financer un projet personnel, ou simplement renforcer votre sécurité financière, commencer à épargner en octobre peut vous aider à atteindre vos objectifs d’ici décembre. Voici un plan d’épargne à suivre si vous souhaitez commencer à épargner pour les 3 derniers mois de l’année.

1. Définissez vos objectifs d’épargne

Avant de commencer à économiser, il est essentiel de déterminer clairement vos objectifs. Que souhaitez-vous accomplir avec votre épargne ? Un objectif bien défini vous permettra de rester motivé et de structurer votre plan d’épargne de manière efficace.

Pour vous aider à visualiser combien vous devez épargner pour atteindre vos objectifs d’ici décembre, voici un tableau détaillé. Ce tableau indique les montants à épargner par mois et par semaine en fonction de différents objectifs financiers.

Objectif à atteindre (en €) Montant à épargner par mois (en €) Montant à épargner par semaine (en €)
500 € 166,67 € 41,67 €
1000 € 333,33 € 83,33 €
1500 € 500,00 € 125,00 €
2000 € 666,67 € 166,67 €
2500 € 833,33 € 208,33 €
3000 € 1000,00 € 250,00 €
3500 € 1166,67 € 291,67 €
4000 € 1333,33 € 333,33 €
4500 € 1500,00 € 375,00 €
5000 € 1666,67 € 416,67 €

2. Élaborez un budget mensuel

Pour épargner de manière efficace, il est crucial de comprendre où va votre argent. Établissez un budget mensuel en listant vos revenus et vos dépenses. Identifiez les dépenses non essentielles que vous pouvez réduire ou éliminer pour libérer des fonds destinés à votre épargne.

3. Automatisez votre épargne

L’automatisation est une méthode puissante pour garantir que vous épargnez régulièrement. Configurez des virements automatiques depuis votre compte courant vers un compte d’épargne dès que vous recevez votre salaire. Cela vous aidera à épargner sans effort et à éviter la tentation de dépenser cet argent.

4. Suivez et ajustez votre plan d’épargne

La vie peut être imprévisible, et il est possible que vous deviez ajuster votre plan d’épargne en cours de route. Surveillez régulièrement vos progrès et soyez prêt à modifier votre stratégie si nécessaire. L’important est de rester flexible tout en visant votre objectif final.

En suivant les conseils présentés dans cet article et en utilisant le tableau d’épargne, vous pourrez suivre un plan d’épargne réaliste. Rappelez-vous que chaque petite somme épargnée contribue à votre sécurité financière. Soyez constant, adaptez votre plan en fonction de vos besoins, et vous serez étonné des progrès réalisés en seulement trois mois.

Ouverture de la billetterie SNCF pour les vacances de Noël 2024 : réservez dès maintenant vos billets !

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La billetterie SNCF pour les vacances de Noël est désormais ouverte ce mercredi 2 octobre 2024. C’est le moment de réserver vos trajets pour cette fin d’année, et notamment les fêtes !

Depuis ce matin à 6 h, la SNCF a mis en vente les billets pour les trajets de la période des fêtes de fin d’année, vous permettant de préparer vos voyages pour Noël. Dès aujourd’hui, les utilisateurs des services TGV, Ouigo, Intercités et TER peuvent réserver leurs billets pour des trajets compris entre le 15 décembre 2024 et le 8 janvier 2025.

Voici les options disponibles à partir du 2 octobre 2024, selon les informations fournies par la SNCF sur son site officiel :

  • TGV Inoui en France et Intercités : réservez pour des trajets jusqu’au 8 janvier 2025.
  • TER : réservez vos voyages dans une période de 3 à 5 mois, selon votre région.
  • Ouigo : réservez vos billets pour des trajets jusqu’au 4 juillet 2025.

Il est fortement recommandé de réserver dès l’ouverture de la billetterie. En effet, cela vous permettra de bénéficier de tarifs avantageux et de vous assurer une place à bord : « Certaines destinations très populaires enregistrent jusqu’à un quart des trains complets dans les trois jours suivant l’ouverture des ventes », selon Trainline.

Il est important de garder à l’esprit que les prix des billets de train fluctuent en fonction de la demande, de la date de réservation et du taux de remplissage des trains au moment de l’achat. Si votre destination est particulièrement prisée, réserver à la dernière minute pourrait vous coûter plus cher.

Qu’est-ce que Wero, le nouveau service de paiement européen qui remplace Paylib dès octobre 2024 ?

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Lancé en octobre 2024, Wero a pour mission de remplacer progressivement Paylib, le service de virement instantané populaire en France. Déployé par l’Initiative Européenne pour les Paiements (EPI), Wero se veut plus qu’une simple alternative, offrant des fonctionnalités similaires mais avec une dimension européenne qui lui permet de s’étendre au-delà des frontières françaises.

Wero : une transition en douceur pour les utilisateurs de Paylib

Si vous faites partie des 35 millions d’utilisateurs de Paylib, la transition vers Wero se fera sans difficulté. En effet, votre compte Paylib sera automatiquement migré vers Wero, sans interruption de service. Ce nouveau service permettra toujours d’envoyer de l’argent à des proches via un simple numéro de téléphone, à condition que leur banque prenne en charge Wero.

Cependant, toutes les banques ne basculeront pas immédiatement sur Wero dès octobre 2024. Paylib continuera donc à fonctionner pendant plusieurs semaines pour assurer une transition progressive, comme l’explique Claire Richard-Hulin, directrice de la communication de Paylib.

Un déploiement progressif dans les banques françaises

Voici le calendrier de déploiement de Wero dans les principales banques françaises :

  • BNP Paribas : dès le 24 octobre 2024
  • Groupe BPCE : du 2 septembre au 2 octobre 2024
  • Crédit Agricole : à partir du 26 septembre 2024
  • Crédit Mutuel Alliance Fédérale : entre le 25 septembre et le 6 novembre 2024
  • Crédit Mutuel Arkéa : janvier 2025
  • La Banque Postale : dès le 28 octobre 2024
  • Société Générale : à partir du 24 octobre 2024

Wero : un service de paiement européen aux ambitions élargies

Avec ses 15 millions d’utilisateurs actifs, Paylib a su rivaliser avec les géants du paiement mobile comme Apple Pay et Google Pay. Wero, de son côté, ambitionne d’aller encore plus loin en facilitant les virements intra-européens, déjà disponibles en Allemagne et en Belgique.

Dès 2025, Wero souhaite évoluer vers une solution de paiement en ligne et en magasin physique, avec pour objectif de concurrencer directement Apple Pay et Google Pay. En 2026, des fonctionnalités supplémentaires, comme le paiement par QR code, seront également mises en place pour offrir encore plus de flexibilité aux utilisateurs.

France : le patrimoine financier net par habitant s’élève à 72 380 euros en moyenne !

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Selon le Global Wealth Report 2023 publié par Allianz, les épargnants français ont perdu l’équivalent de quatre ans de progression financière à cause de l’inflation. Ce rapport, qui analyse la richesse et l’endettement des ménages dans près de 60 pays, révèle que la France se classe seulement à la 16e place des pays les plus riches, avec un patrimoine financier net moyen de 72 380 euros par habitant.

Une croissance financière limitée par l’inflation

Ce patrimoine net moyen de 72 380 euros par habitant ne prend en compte que l’aspect financier pur (placements sur livrets, assurances-vie, plans d’épargne, actions…), la France apparaît au 16e rang, deux places devant l’Allemagne, mais derrière l’Italie, le Royaume-Uni et l’Irlande comme un an plus tôt. En 2023, les actifs financiers des ménages français ont certes augmenté de 5,9 %, avec les titres financiers en tête (+10 %), suivis par les assurances/retraites (+4,9 %) et les dépôts bancaires (+2,7 %). Cette croissance, relativement solide, devrait se poursuivre à un taux de 4,7 % cette année. Cependant, une fois corrigée de l’inflation, cette progression ne s’élève qu’à 0,3 %, avec un pouvoir d’achat des actifs financiers encore inférieur de 3,5 % par rapport à 2020. En termes réels, le pouvoir d’achat des ménages n’a retrouvé qu’une petite avance de 1 % par rapport à 2019.

Une perte de pouvoir d’achat significative

Le rapport souligne ainsi que les épargnants français ont perdu près de quatre ans de progression patrimoniale. Ce phénomène s’explique principalement par l’effet de l’inflation, qui a effacé une grande partie des gains financiers réalisés ces dernières années. Cette perte de pouvoir d’achat coïncide avec une baisse de 5 % des actifs immobiliers en 2023, conséquence directe de la hausse des taux d’intérêt.

Un marché immobilier en difficulté, mais avec une croissance sur le long terme

Le marché immobilier français, sévèrement affecté par la montée des taux, reste cependant en meilleure posture que les niveaux d’avant la pandémie, avec une augmentation de 12 % par rapport à 2019. Quand on ajoute le patrimoine immobilier, la France est bien plus haute dans la hiérarchie mondiale et fait parte des « winners » selon le terme employé dans l’étude. Avec un patrimoine net moyen (endettement déduit) de 214.980 euros, les Français font leur entrée dans le top 10 alors qu’ils étaient en 13e position dans le précédent classement. Néanmoins, Allianz avertit que la transition à venir pourrait être difficile pour le secteur immobilier, prévoyant une baisse de 26,4 % des prix des logements d’ici 2050. Cela équivaudrait à une diminution de 37 650 euros par habitant.

Impôt sur le revenu : près de 10 millions de foyers concernés par le prélèvement du solde ce 26 septembre

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Ce jeudi 26 septembre marque le début du prélèvement du solde de l’impôt sur le revenu pour près de 10 millions de foyers fiscaux en France. L’administration fiscale va prélever automatiquement la somme due pour les contribuables dont le prélèvement à la source en 2023 n’a pas suffi à couvrir le montant total de leur impôt, conformément à l’avis d’imposition reçu.

Pourquoi un solde à payer ?

Le solde de l’impôt concerne principalement les foyers qui n’ont pas ajusté leur taux de prélèvement à la source après une hausse de revenus, ou qui ont bénéficié d’une avance de crédits d’impôt trop importante en janvier dernier. Ces foyers doivent désormais régulariser la différence entre les montants prélevés et ceux réellement dus pour l’année fiscale 2023.

Modalités de paiement : un ou plusieurs prélèvements

Les modalités de ce prélèvement varient selon le montant à régler. Si le solde est inférieur à 300 euros, il sera prélevé en une seule fois ce jeudi 26 septembre. En revanche, pour un solde supérieur à 300 euros, la somme sera étalée sur quatre échéances, avec des prélèvements les 26 septembre, 25 octobre, 25 novembre et 27 décembre, selon la Direction générale des Finances publiques (DGFip).

Le prélèvement sera directement débité du compte bancaire enregistré auprès de l’administration fiscale. Il apparaîtra sur les relevés bancaires sous la mention « Solde impôt revenus 2023 » avec l’indication de l’origine « Direction générale des Finances publiques ».

Comment payer si aucun compte n’est enregistré ?

Pour les contribuables dont les coordonnées bancaires ne sont pas enregistrées ou en cas de rejet de prélèvement, il reste possible de régler le solde en ligne via le site officiel impots.gouv.fr. Il est également envisageable de se rendre chez un partenaire agréé, comme un buraliste, pour effectuer le paiement par chèque, espèces ou carte bancaire, à condition que la somme soit inférieure à 300 euros. Pour des montants supérieurs, le paiement en ligne est obligatoire.